Apprécier la pratique de BDSM dans le bon sens

On peut se perdre si on se base sur le film « 50 nuances de Grey » pour juger la pratique de bdsm. Il y a tellement de programmes qui ne sont pas affichés sur ce film. Mais à la base, l’identité de bdsm a été bien démontrée.

Seuls les couples mariés peuvent s’aventurer dans le bdsm

Si vous avez remarqué, à chaque fois que monsieur demande de passer une nuit de folie avec sa femme, il la prévienne, et vice-versa. Donc, c’est un projet qui a besoin de préparation. Et seuls, les couples qui ont vécu assez longtemps auront cette intuition. Dans le film, la femme est timide et elle hésite à chaque mouvement, elle a peur, mais heureusement, elle est amoureuse.

Les frissons sont au rendez-vous

C’est vrai qu’un coup de cravache doit faire mal, or, dans cette pratique, la cravache est un outil destiné à nous exciter. Son embout est assez grand, qui ne fait que frôler la peau de la personne, mais ne provoque aucune douleur. Tout ce qui nous importe est son bruit, qui est assez frustrant, et tous les accessoires bdsm ont ce fonctionnement provocateur non-violent.

Les menottes ne sont qu’un moyen pour que la personne soumise résiste à la provocation d’orgasme faite par le dominant.
Dans « 50 nuances plus claires », la femme a déjà confiance en elle. Et elle ose faire le premier pas, cela dit, être la dominante, et l’homme, qui se sent surpris, a suivi le jeu. Elle s’est embarquée dans le jeu de costume, une tenue plus que parfaite avec la voile sur le visage.

Le message est clair, même celui de la troisième partie, « 50 nuances plus sombres », le couple est face à une impasse, et la tentation commence à se faire surface. Mais tout est sous contrôle.

Tout compte fait, un couple qui pratique le Bdsm n’a pas peur d’affronter les problèmes et pourra agir sans aucune limite dans la totale animosité de l’humanité.