BDSM : Pourquoi et comment le pratiquer ?
Le BDSM est une pratique qui procure une sensation forte. L’instauration de la discipline par la punition procure une grande montée d’adrénaline et fait monter le désir.
Cette pratique peut être très excitante pour assouvir un désir enfoui dans le subconscient, de prise de contrôle pour un dominant, et la soumission pour une personne sadique. Le but est alors d’infliger une punition physique et psychologique, à caractère érotique et sexuel, suite à une désobéissance.
Quel genre de plaisir avec le BDSM ?
Du côté du dominant, le plaisir se trouve dans la prise de pouvoir, avoir le contrôle absolu sur l’être qu’il domine. Ce désir se développe chez les personnes machistes, celles qui ont dans leur vie quotidienne un certain pouvoir décisionnaire et de commandement.
Le BDSM leur permet ainsi d’aller plus loin dans leur soif de soumission, de varier les types de punitions et de franchir la limite du tabou. Mais il se peut aussi que ce soient les personnes qui se sentent opprimées, qui sont constamment humiliées ou rabaissées qui veulent prendre la place d’un dominant.
Du côté du soumis, le BDSM est une forme d’acceptation de soi. Une sorte de reconnaissance de ses défauts, un lâcher pris sur une situation. La soumission permet d’avoir du plaisir en faisant plaisir à son dominant. Une personne sadique satisfait ses besoins de souffrances psychologiques avec l’humiliation, et stimule son corps avec les coups infligés par son dominant.
Pour une initiation, ou pour des séances de qualités en BDSM, il est alors important d’avoir quelques guides ou un partenaire expérimenté. De plus en plus de sites comme https://www.maitresse-natacha-bdsm.com/ permettent d’en savoir un peu plus sur cette pratique.
Quelles sont les règles à suivre pour une séance de qualité
Comme cette discipline peut causer des atteintes physiques et psychologiques, certaines règles sont à suivre pour une expérience réussie en BDSM.
Le consentement mutuel est primordial et fixer des limites au préalable est requis. En effet, certains considèrent le BDSM comme une thérapie, et pour pouvoir atteindre un but, il faut délimiter les zones de confort et les zones à risques. Les punitions sont à instaurer selon le niveau d’initiation, l’intensité doit alors être progressive.
Il est important de s’assurer de tenir la bonne place, de cerner ses envies pour mieux savourer la séance. Identifier les positions, les postures et les actes qui peuvent sortir du cadre du jeu.
Une bonne préparation peut aider à multiplier les plaisirs, que ce soit au niveau mental, qu’au niveau physique. Le choix du ton, des mots doivent être compatibles aux besoins des deux parties. Et les corvées ou punitions doivent être adaptées aux caractéristiques du soumis. Le cadre et le matériel jouent aussi un rôle important pour la réussite d’une séance.
Quelles formes de punition avec le BDSM ?
Le BDSM peut se présenter sous plusieurs formes. Il peut s’agir uniquement d’une humiliation verbale, comme des insultes, ou alors des actes de domination physique. Certains aiment créer des scènes suivant leurs fantasmes, comme le jeu de rôle animal, les scènes d’interrogations, ou encore la momification. D’autres choisissent des situations brutes, plus réalistes comme le bondage.
La domination et la soumission peuvent se présenter sous forme de fétichisme, d’humiliation érotique comme le facesitting. Le sadisme et le masochisme quant à eux peuvent conduire à pratiquer des actes plus physiques et plus violents, comme la dilatation sexuelle, la torture des parties génitales et des tétons, l’électrostimulation ou encore l’asphyxie érotique.